Le BNGRC (Bureau National de Gestion des Risques et des Catastrophes) et le Programme Alimentaire Mondial (PAM) poursuivent avec détermination leur engagement envers les populations malgaches, en mettant en place des actions concrètes pour répondre aux défis liés aux risques et catastrophes, qu’elles soient naturelles ou humanitaires. Ce partenariat de longue date entre ces deux entités internationales est fondé sur une vision commune : celle de protéger, préparer et renforcer la résilience des communautés malgaches face aux crises de plus en plus fréquentes et intenses, notamment les catastrophes naturelles, les crises alimentaires et les aléas climatiques.
Dans le cadre de cette coopération, Madame Tania Goossens, Représentante et Directrice Pays du PAM, a eu l’opportunité de rencontrer le Général Elack Olivier Andriakaja, Directeur Général du BNGRC, ainsi que son équipe, pour échanger sur les défis actuels, les actions déjà entreprises, et surtout sur les stratégies à venir pour mieux anticiper et gérer les crises à venir. Cette rencontre a permis de souligner l’importance d’une approche intégrée, où la prévention, la préparation, et la réponse aux crises sont combinées pour maximiser l’impact des interventions.
Les discussions ont également permis de mettre en lumière les besoins croissants des populations malgaches en matière de sécurité alimentaire, notamment dans les zones rurales les plus vulnérables. Face à la dégradation progressive des conditions climatiques, la perte de terres cultivables, et l’augmentation des déplacements de population dus aux catastrophes, le rôle du PAM et du BNGRC est devenu plus crucial que jamais pour apporter un soutien rapide et efficace.
Ce partenariat a pour objectif d’améliorer la gestion des risques, tout en offrant un accès durable à l’alimentation et en renforçant les capacités de résilience des communautés à travers des programmes de préparation et de renforcement des infrastructures. En outre, les actions entreprises visent à promouvoir des solutions durables qui ne se contentent pas de répondre aux urgences, mais qui s’inscrivent également dans une dynamique de long terme, en mettant l’accent sur la formation, la sensibilisation des populations, et le renforcement des capacités locales pour faire face à de futures crises
